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Histoires coquines : Jeune et belle tellement cochonne Histoires coquines : Jeune et belle tellement cochonne

Histoires coquines : Jeune et belle tellement cochonne


Je tiens à vous parler dans ces histoires coquines de Magalie ma prof de piano fougueuse et tellement sexy qui, à mon grand bonheur est devenue ma prof de baise.

J’étais heureux que mon père m’ait assigné à une prof de piano aussi belle et aussi jeune, je pense que lui aussi avait des vues sur elle mais c’est moi qui finirais par remporter le gros lot. Peut-être que dans l’esprit lubrique de Magalie elle voulait se faire défoncer la chatte par le père et le fils. Comme le répète très souvent Pat mon meilleur ami : une libertine est comme une piscine, ne te préoccupe pas de qui a nagé avant toi, de qui nage en même temps que toi ou de qui nagera après toi, contente-toi simplement d’en profiter. Du haut de mes 18 ans je me sentais déjà homme et apte à donner des orgasmes à cette déesse, j’étais loin de me douter que j’avais encore beaucoup à apprendre et que la leçon serait des plus agréables.

Du fantasme à la réalité

Les nuits je me branlais en fantasmant sur Magalie ne sachant pas que mes rêves obscènes étaient sur le point de devenir réels et que bientôt ma queue aurait bientôt meilleur fourreau que la paume de ma main et qu’elle ferait de la plongée lubrique dans la foufoune de ma prof aux allures de salope.

– Tu n’es pas très concentré aujourd’hui ! A quoi penses-tu ?

– Je ne sais pas, je me sens un peu fatigué.

En réalité sa tenue provoquante m’empêchait de faire mes accords correctement et je suis certain que cette prof lubrique le savait, mais qu’elle trouvait un malin plaisir à me torturer car la bosse sur mon pantalon indiquait clairement que ma libido était en feu.

Avant même que je n’aie le temps de réagir sa main était déjà posée sur mon pantalon et la coquine caressait mon chibre et mes couilles.

Une salope satisfaite

Portée par sa volonté libidineuse et toute puissante, elle se retrouvait à califourchon sur moi et sentait ma verge qui était sévèrement tendue à travers mon pantalon. Je pétrissais ses seins et mordillais ses tétons avec l’avidité d’un jeune mâle en rut.  Elle introduisit ma queue dans sa chatte humide et se mit à faire des mouvements qui allaient bientôt me forcer à balancer toute la purée. A ce moment j’étais l’élève de piano le plus docile au monde et je jouissais dans un râle puissant.